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Une phrase clé pour éviter les disputes entre frère et sœur

Ah les fameuses disputes entre frères et soeurs, on n’aime pas ça ! On n’a pas envie que le petit qui n’a rien fait se fasse avoir par le grand méchant qui n’arrête pas de lembêter ! Mais intervenir dans les disputes de nos enfants, est-ce vraiment la bonne solution  ? Dans cette vidéo je vais vous donner une phrase clé pour se donner le maximum de chances pour que nos enfants se disputent moins. 

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Commentaires

0 thoughts on "Une phrase clé pour éviter les disputes entre frère et sœur"

  1. Parcroc dit :

    Très intéressant.

  2. Lelo dit :

    Bonjour.. je m’applique chaque jour être bienveillante, parfois je chute, alors je remonte… et puis mon cerveau bouillonne et je m’excuse.. et je me perds.. je veux tellement le meilleur pour ma fille de 4 ans aujrdhui… ma question est la suivante… j’essaie de m’améliorer chaque jour mais j’ai parfois peur de lui avoir provoqué déblocage ou des mauvaises choses dans son petit cœur ou dans son cerveau à force de mes écarts d’humeur ou d action ( dérapage, crie, mauvaise réaction..).. j’ai peur de lui provoquer une mauvaise estime d’elle lorsque je gronde (et pourtant je mameliore de plus en plus) … hier après une journée de travail très fatigante je lui ai crié dessus parce qu’elle n’avait pas écouté une consigne.. j’ai retrouvé ma fille dans le jardin en train de pleurer et de se dire “je suis pas intelligente”… j’avais envie de pleurer quand j’ai vu ça.. bien sûr je l’ai rassuré et lui ai dit que jamais personne n’avait droit de lui dire qu’elle n’était pas intelligente et qu’elle pouvait avoir largement confiance en elle et être fière d’elle… etc… mais voilà je me remets en doute complètement.. à cause de moi elle en vient à penser ça alors je ne dois pas faire ce qu’il faut je pense… j’ai tellement peur d’abîmer quelque chose en elle ou d’avoir fait quelque chose dis réparable ou De non rattrapable…. qu’est-ce que c’est dur d’être maman parfois!!!!! Leonie

  3. Dantour dit :

    En tant que professionnelle (j’ai exercé plusieurs professions liées à l’enfance – en particulier celle de bibliothécaire jeunesse dans des quartiers dans lesquels les enfants étaient confronté.es à une grande violence économique et détresse sociale et donc la répercutaient dans leur comportement ) j’ai beaucoup utilisé avec des résultats sidérants la façon de résoudre les conflits de Thomas Gordon. Celle-ci consiste à ne servir que de truchement à la parole de chacun.es des belligérant.es sans porter de jugements ni faire de commentaires (et dieu sait à quel point j’ai été tenté de le faire et à quel point j’ai été soulagée après coup de ne pas l’avoir fait !) Le fait de redire la parole d’un enfant telle qu’elle a été exprimée par celui-ci à un autre enfant peu paraître ridicule : on peut se dire que l’autre enfant l’a entendue et qu’il est inutile de jouer les pères-hoquets ou les mères-hoquettes mais en fait ça ne l’est pas du tout car quand l'”ennemi” parle l’autre enfant n’est pas du tout prêt émotionnellement à l’entendre mais quand l’adulte (ou même un/e autre enfant, je l’ai souvent vu !) ne joue pas les arbitres, les médiateurs et ne fait que répéter texto ce qu’il/elle a entendu le/la belligérant/e a eu le temps de se calmer émotionnellement et est alors capable d’entendre les paroles répétées. Au départ j’avais du mal à y croire et j’étais tentée de faire des commentaires du style “ah ! oui s’il t’a mis des bogues de châtaignes dans ton lit je comprends que tu ne sois pas content !” mais si j’avais fait cela l’autre enfant se serait senti déjugé.e et je n’aurais pas pu apprendre que l’autre lui avait fait son lit en portefeuille et remonter ainsi de proche en proche à l’élément déclencheur du conflit qui – de mon expérience sur plus de 40 ans – est toujours partie d’un malentendu ou d’une mauvaise interprétation du comportement de l’autre !
    Peut-être dans les fratries les enfants peuvent-il/elles résoudre leurs conflits sans la présence non jugeante d’un/e adulte (je n’en ai pas l’expérience) mais dans tous les cas – même quand je ne savais pas quoi dire (quand les enfants s’insultaient ou se menaçaient, par exemple) – j’ai pu constater que cette seule présence silencieuse, proximale et surtout bienveillante calmait le jeu.
    J’ai aussi constaté que les conflits les plus violents opposaient presque toujours des enfants qui avaient entre eux des liens affectifs très forts (c’est normal c’est là où le conflit fait le plus mal !) ou encore que la résolution non jugeante (mais empathique) des conflits créaient de nouvelles amitiés.
    Cependant, pour ce que j’en ai vu entre adultes, les rancœurs qui opposent les frères et sœurs paraissent souvent insolubles même à plus de 50 ans ! Donc la neutralité bienveillante dans l’enfance (ce qui ne signifie pas que l’on donne la même chose à l’un/e et à l’autre !) est un bon moyen de prévention de souffrances qui peuvent durer toute la vie ! Je suis d’accord avec le fait qu’après leur avoir procuré des modèles bienveillants de résolution des conflits il est essentiel de laisser les enfants le faire par eux-mêmes et que c’est un bon apprentissage relationnel cependant il me semble qu’il est tout aussi important que les enfants sachent que s’il/elles le leur demandent les adultes sont attentif/ves à les y accompagner sans juger ni interpréter ni prêter des intentions aux un/e ou aux autres…

  4. Adrien dit :

    Bonjour, merci pour vos articles et vidéos toujours très inspirants. J’ai aussi beaucoup aimé votre livre.
    Cela dit j’ai encore du mal avec mise la pratique au niveau de ces fameuses disputes.
    Vous dites de les laisser gerer tout seul, mais qu’il faut intervenir quand meme s’ils se tapent dessus.
    Je suis papa de 2 garçons de 2 ans et 5 ans et mon soucis c’est que quasi systématiquement ils se tapent dessus et peuvent se faire très mal… le petit de 2 ans prend souvent un jouet bien costaud pour taper avec vigueur sur son grand frere et il lui fait tres mal. Que faire dans ces cas-la ? Je suis bien obligé d’intervenir. J’essaie au maximum de faire ce que vous conseillez dans votre livre, c’est à dire ne m’occuper uniquement de celui qui a mal et de ne pas réprimandez l’autre, meme si ce n’est pas toujours évident, mais je ne vois pas vraiment d’amélioration et les disputes son quasi permanente, je ne sais plus trop quoi faire

    1. charlene dit :

      Bonjour Charlotte.. Adrien, je suis dans le même cas que toi ! mes filles de 9 et 5 ans se tapent dessus sans arrêt, et le petit de 2ans1/2 est aussi bon dans sa catégorie, et le meilleur en ce qui concerne le tirage de cheveux ! j’essaie pourtant au maximum d’utililser cette fameuse phrase “quelle solution convient à tous les 2/3 ?” mais rien n’y fais.. j’ai malheureusement mis longtemps avant de ne pas prendre partie, et du coup peut-être que le rôle de justicier est trop acquis dans la tête de chacun ? est-ce seulement réversible ? je perds espoir… merci tout de même pour ces vidéos inspirantes

  5. Sophie L dit :

    Génial la vidéo ! Charlotte, j’adore votre look justicier ?

  6. Maggy dit :

    J’ai besoin de vos lumières pour mes filles de 2 et 4 ans. Merci à vous

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