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Le jour où je suis devenue ma meilleure amie

Le jour où je suis devenue ma meilleure amie

Je ne sais pas vous, mais moi j’ai longtemps été dure avec moi. Soyons honnêtes, mettons ça au présent ! Il m’arrive souvent d’être disons… pas très cool avec moi-même ! Jugeante. Cassante. Exigeante. Et au lieu de m’améliorer, cette pression permanente que je me mets n’est finalement pas très positive, ni pour moi, ni pour mes proches ! Et lors de doux moments de grâce, il m’arrive de m’accueillir comme ma meilleure amie. Douceur, chaleur et réconfort…

Meilleure amie vs exigence

La maison en désordre, les enfants crados et mal coiffés, la crise dans le supermarché, le cahier oublié, les devoirs pas faits, les poux qui s’installent… j’avais l’impression de prendre tout ça en pleine poire ! Que tout était de ma faute. Que je devais vraiment être la dernière des nulles pour ne pas réussir ce qui paraissait si simple aux mamans de l’école avec leurs enfants tout beaux tout sages et leur maquillage impeccable… 

Estime de soi 0 / Culpabilité 1

Bien sûr, quand on exige tant de soi, on est loin de l’auto-compassion et de la bienveillance. Pourtant, quand je m’écoute consoler mes amies, quand je me vois soigner ma Choupette qui s’est (encore) écorché le genou… j’ai l’air plutôt armée en termes d’empathie et de réconfort. 

Par contre, envers moi, zéro !! 

Un jour, j’ai entendu les mots pleins de bon sens qui sortaient de ma bouche alors que j’étais au côté de mon amie Fanny, en plein baby blues avec son bébé tout neuf !

Non, c’est pas grave que le petit déjeuner soit encore sur la table alors qu’il est 18 h.

Oui, on s’en fiche que son fiston ait mis le même t-shirt pour le 3e jour consécutif.

Et oui. Elle a le droit de vouloir prendre une douche, une demi-heure, même si son nourrisson râle pendant un moment. Ou elle a le droit de vouloir rester collée avec lui, sans arriver à laisser quelqu’un d’autre le porter.

C’est OK. Tout et son contraire. 

Enfin… c’est OK pour elle, mais pour moi, quand même !

Ça me rend folle que le petit déj’ traine encore (même si c’est le mien ;-)) 

Arrêter d’exiger. Accepter.

Du coup, je me suis regardée. Je me suis entendue décrire mon quotidien à ma thérapeute en me demandant pourquoi je n’avais pas l’énergie d’aller vers mes rêves. De mettre en place ce qui me fait du bien…

Comme une exigence de perfection pour être à la fois une femme, une mère, une compagne et une professionnelle accomplie.

Oui, TOUT, et en même temps s’il vous plaît.

Et un peu mieux que ça.

Et avec le sourire (et sans les cernes !)

Mais si, c’est possible. Regarde les autres !!! 

Et là, sous prétexte que j’ai… pff quoi, en fait ?

3 enfants sous le même toit (18-11-8),

Une garde alternée,

Un job en Freelance et une formation en cours pour prendre soin des autres,

Un Chéri en train de monter sa boite,

Des envies de voyage et de bout du monde…

Je me demande honnêtement pourquoi je n’ai pas l’énergie de partir en randonnée le week-end ?

Et je me flagelle en me voyant m’égosiller une énième fois sur mon Amour d’enfant de collégien qui a le don de me rendre folle (oui, je sais ma colère m’appartient… blabla ! Bam, vous me remettrez une couche de culpabilité – mauvaise mère s’il vous plaît).

S’accueillir en douceur, comme le ferait notre meilleure amie

Oui, à un moment, face aux grands yeux de ma thérapeute étonnée de ce déboulé d’exigences, j’ai compris que je m’en demandais peut-être beaucoup. TROP. 

J’ai compris que je pouvais sûrement tout avoir, mais peut-être pas tout de suite, et sûrement pas là maintenant. 

J’ai vu que là, toutes ces couches d’impératifs, elles me fatiguaient plus qu’elles ne m’aidaient à aller vers l’avant.

J’ai juste eu envie de me lover sur mon canapé, de jouer avec mes loulous, de boire une tisane en bricolant une vieille boite de couture.

Peut-être que ça ne va pas changer mon destin ni réparer le monde… Mais c’est un moment de partage, de douceur qui me remplit bien plus qu’une heure de ménage en pestant d’être seule à ranger.

Et puis, j’ai rejoint la communauté des cool parents pendant une session liée à la charge mentale. Et c’est bon de se sentir moins seule, de partager nos doutes, et de voir que des petites choses peuvent changer grandement notre quotidien. Je vous laisse regarder le tout nouveau coaching CPMHK “Diminuer sa charge mentale” si ça vous intéresse.

Et surtout, c’est bon de pouvoir se tourner en soi, de sentir que je suis là pour me soutenir et m’épauler, pour me sentir tellement puissante dans tout ce que je fais déjà, et surtout, m’autoriser à lâcher. 

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