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“Je ne supporte plus mes enfants !” Conseils éclairés pour que ça change …

Je ne supporte plus mes enfants

Mon enfant est insupportable : et si c’était moi qui saturais ?

Il y a des jours où l’on n’en peut plus. On aime ses enfants, mais on ne les supporte plus. Et c’est normal. Ce n’est pas un échec personnel, car en réalité c’est un problème collectif.

L’épuisement parental : un phénomène massif

➡️ 1 mère sur 3 a déjà connu un burn-out parental (étude IFOP)
➡️ 40 % pensent qu’elles pourraient en vivre un un jour
➡️ En tout, 70 % des mères sont concernées

L’épuisement des parents est profondément lié à notre organisation sociale, bien plus qu’à un manque de volonté individuelle. Et cela a une conséquence classique : être à saturation de son propre enfant, que l’on ne supporte plus. Comment socialement en est-on arriver là ?

1. Travailler et élever ses enfants : une course contre la montre

Quand on projette de se mettre en couple, de fonder une famille, on rêve de moments de complicité en famille, de bonheur partagé, le soir, les week-ends. Mais depuis plus de dix ans que nous accompagnons les parents chez CPMHK, un constat revient inlassablement : dans la réalité, le quotidien est vécu comme un véritable marathon.

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Réveil à 7h, même si le petit dernier nous avait réveillés 3 fois durant la nuit. Enchaînement : petit déjeuner, habillage, coiffage, rangement express, et surtout, ne pas louper la sonnerie — à cinq minutes près, la porte de l’école sera fermée. Au travail, pas de vraie pause : chaque moment libre est consacré à gérer des papiers administratifs, commander les courses en ligne, caler un rendez-vous médical. Et puis vient le stress de devoir partir sans avoir terminé. Un retard dans les transports, et tout bascule. Goûter, devoirs, bain, préparation du dîner… pas le temps de jouer, pas le temps d’en profiter. Juste l’impression d’enchaîner les tâches, encore et encore.

Mais pourquoi est-il si difficile d’atteindre cet idéal pourtant simple sur le papier : se retrouver en famille à la fin de la journée, dîner ensemble, se détendre, échanger, rire ?

Parce que cela fait maintenant plus de 70 ans que les femmes travaillent, mais le monde du travail, lui, ne s’est toujours pas adapté. Et la liste des tâches à accomplir à la maison, elle, n’a pas diminué. Les parents se retrouvent pris en étau : d’un côté, des horaires de travail rigides ; de l’autre, des structures scolaires et périscolaires qui ne correspondent pas aux contraintes professionnelles de 70% des métiers. Du coup, on essaye de faire tenir l’intenable.

2. La pression sociale sans le soutien

À cette course s’ajoute une pression énorme : allaitement recommandé, zéro écran, devoirs, légumes, activités… L’OMS, les médecins, l’État nous dictent tout.

Et cette pression, au lieu d’être gérée collectivement, en soutenant les parents, elle est individualisée. On dit ce qu’il faut faire, mais on n’aide pas pour le faire.


La nutrition est un exemple révélateur.  On nous explique qu’il faut faire manger les enfants sainement, mais en même temps, nous autorisons les supermarchés à vendre par milliers des gâteaux ultra-transformés mauvais pour la santé. Et comble du comble, on autorise les marques à en faire une méga publicité auprès de nos enfants — malgré les alertes sur les méfaits de la malbouffe —, tandis qu’aucune stratégie équivalente ne promeut les légumes.. Et enfin, on ne laisse pas le temps aux parents de cuisiner en semaine. Bref, si on dit aux parents individuellement ce qu’il faut faire, tout en organisant tout pour les pousser à faire l’inverse, cela ne peut pas fonctionner.

3. Des enfants privés de liberté, des parents assignés à surveiller

Autrefois, un simple “Va jouer dehors et reviens pour le dîner” suffisait à réguler des journées entières. Les enfants traversaient les quartiers à vélo, exploraient les bois, partaient jouer dehors le matin et ne rentraient qu’au coucher du soleil. 

Mais depuis les années 70, l’autonomie des enfants dans l’espace public a diminué. Aujourd’hui, nos enfants ne jouent plus seuls dehors, ils ne circulent plus librement, et sont en permanence sous surveillance, et tout déplacement nécessite un adulte. Rares sont les parents qui peuvent encore dire cette phrase pourtant si simple et vitale : “Va jouer avec tes copains et reviens quand le dîner sera prêt.” Bien plus efficace pour redescendre les tensions familiales qu’un timeout enfermé dans une chambre.

Ce recul contraint les parents à une hyper-surveillance épuisante. Les parents sont devenus les chauffeurs et les gardiens de leurs enfants — à plein temps .  Deux nouvelles missions qui participent à la surcharge, et à l’absence de repis des parents.

5. Alors on fait quoi ?

Du répit, c’est ce dont nous avons tous besoin. Comment ?
Les solutions ne sont pas toujours simples, et très inégales d’une famille à l’autre, mais elles existent.

  • Abuser du périscolaire, est déjà LA première chose à faire. Même si on est disponible pour aller le chercher. En attendant, on prend un temps pour nous et seulement nous.
  • Les grands-parents (s’ils sont présents et à la retraite) peuvent être une ressource : pourquoi ne pas leur demander de venir chez vous, pendant que vous partez vous reposer chez eux ? Oui, c’est bizarre, et alors !
  • Le co-parent, quand il est présent, est évidemment la première personne à solliciter. Lui laisser les enfants une semaine, quitte à ce qu’il prenne quelques jours de congé. Et nous partir se reposer chez sa sœur, son frère ou toute autre personne de confiance, pour une vraie pause.
  • Dans certaines villes, il existe aussi des lieux appelés “relais parentaux” qui accueillent les enfants le temps d’un week-end. Il y a également des colonies de vacances organisées par les municipalités pendant les congés scolaires. Et on peut même s’autoriser à prendre des vacances pour soi, pendant qu’il est en colonie.

Ne culpabilisons pas de confier nos enfants : c’est vital. Personne ne peut s’occuper d’un enfant sans pause. On peut adorer faire du vélo, quand on en fait 24h/24h, c’est l’overdose, et c’est normal ! Nos enfants ont tout à gagner à retrouver un parent reposé et disponible.

Et vous, quelles solutions voyez-vous pour souffler un peu ?

💛

La Team CPMHK
__________

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Commentaires

24 thoughts on "“Je ne supporte plus mes enfants !” Conseils éclairés pour que ça change …"

  1. justine dit :

    Bonsoir à tous, je suis une jeune maman de 3 enfants, jai 26 ans, j’ai 2 filles 9 ans et 6 ans , et un petit garçon de 10 mois
    Nous sommes une familles recomposée, mes deux filles d’une premiere relation et mon petit dernier avec mon compagnon actuel.
    Tous ce passe bien au niveau de notre couple, en ce qui concerne la vie au quotidien il beaucoup plus difficile… Mes filles se disputent sans arrêt.. se tape dessus et ne se lache pas d”une semele pour venir me voir et me dire “maman elle a fais ci, maman elle a fais ça” chacune leur tour a longueur de journée..
    Nous n’avons plus gout et plaisir à sortir avec nos enfants car sa ne leur va jamais faut toujours faire et prendre ce qu’elle veule et si cest un non les journees sont gacher et beaucoup d’autre chose encore… mais la liste et tres longue
    Malheuresement pour nous, nous n’avons aucune famille proce donc nous avons les enfants tous le temps, comme dans un commentaire precedant les baby sisters sont hors de pri et je n’ai pas la conscience tranquille de laisser mes enfants à une inconnu …
    Je suis perdu et je deprime parfois je culpabilise je ne sais plus tous ou j’en suis et je ne sais plus quoi faire..
    j’ai pris rendez vous avec une pschologue pour ma deuxieme fille 6 ans mes je n’en ses pas plus sur leur partage ..
    justine .

  2. Cath dit :

    Comment fait-on alors si personne dans notre entourage ne veut garder nos enfants? Je suis découragée, ça fait deux ans qu’on a eu une pause d’une nuit.. je ne supporte plus la présence de mes enfants, ça me déprime d’aller les chercher après le travail.

  3. Ana dit :

    Moi aussi, 2 garçons 3 et 4 ans, la famille à l’étranger, la belle famille à 900km, mon conjoint travaille dans la restauration, soit 18h par jour, je craque, baby sitter hors de prix et difficile à trouver une…pas de lumière au bout du tunnel…

  4. Alice dit :

    Bonjour,

    Moi je craque totalement, je suis seule avec mes deux petits de 2 et 3 ans. Le papa les prend de temps à autre une soirée ou une matinée pas plus car il ne peut pas les héberger… là mon fils vient de me sortir qu’il s’est trompé de maman c’est pas celle-là qu’il aime parce qu’elle est pas bonne. Il voudrait une autre maman. Ça et la pression quotidienne je fonds en larmes j’en peux plus. J’ai pas de famille autour. Ma mère en prend parfois un ou l’autre en vacances jamais les deux ensemble car c’est trop difficile. Je donne tout et le résultat est catastrophique personne n’a l’air heureux. C’est très dur.

    1. Coco dit :

      Bjr.moi aussi je suis a bout.j arrive plus a profiter des sorties.ce que qui me touche c est que j arrive plus a dire du bien d’eux😓😢je voudrais tellement souffler un peu seule.

      1. Alice dit :

        Je ressens pareil. J’ai quitté mon conjoint car j’avais plus envie de rentrer chez moi le soir et pas envie de le voir et je commence à avoir également des appréhensions pour les soirées avec mes enfants… j’ai peur d’y passer ma santé psychologique et physique aussi… je vais chercher de l’aide auprès d’un psy j’en ai besoin.

  5. Emilie dit :

    Bonjour, de temps en temps, je peux laisser les enfants un weekend chez leurs grands-parents et cela me permet de recharger mes batteries, c’est vrai, je lâche prise et quand ils reviennent je suis plus patiente.

  6. Alice dit :

    Envie de partir loin
    Mes enfants font de leur mieux, confinés pas de jardin, aucune sortie ludique possible ou limitées ce Covid qu’on l’ai ou pas, nous prive d’oxygène…
    Vivement mes 50 ans, plus enfant, nouvelle vie, les enfants ca te donne tout en bien et en mal, ca te vole tout, j’aime mes amours mais trop d’énergie pris je n’en ai plus :'(
    Pas de famille de mon coté et coté Mr, c’est un par un … nous en avons 3 en famille recomposée.
    Bref… j’aime pas l’alcool mais le jour du dernier enfant parti jme tape une cuite

    1. Aourell CPMHK dit :

      Hello Alice, courage la période n’est pas facile c’est sûr, on manque d’espace et de temps pour soi…
      A défaut de partir loin, ou au moins en escapade, on peut se ressourcer en se recentrant un peu sur soi et sur ses propres besoins (pas tous hein, mais au moins certains) ça peut aider à se sentir mieux ! Pour ça on a parfois besoin d’aide pour se reconnecter à ce qui nous anime et nous ressource. Un coaching en développement personnel peut vous aider à y voir plus clair et vous inviter à prendre du recul et “un peu” de temps et d’attention sur vous-même ?. On démarre une session de notre coaching “Osez vivre pleinement votre vie” demain. Si ça vous parle cliquez ici

  7. 1Br dit :

    Bonjour,

    J’ai de gros doutes sur toutes ces pseudo solutions.
    Quand on n’en peut plus i n’y a plus qu’à se résigner et à prendre son mal en patience.

    En ce qui me concerne j’ai encore 7 années à tenir jusqu’à leur majorité.

    Et quand il quitteront la maison je me saoule au champagne pour fêter ça !

    1. Gigi dit :

      Entièrement d’accord, moi encore 10_12 ans et je commence la danse africaine et la natation synchro lol

  8. Claire dit :

    Comment faire quand tu es expat en Australie et que tu n’as ni famille, ni amis pour prendre la relève une après-midi ou un week-end? Les nounous c’est bien mais ça coûte une fortune ici et ça ne dure que quelques heures.

    1. celia dit :

      Bonjour Claire,
      Je vis la même situation que toi mais dans un autre pays. Le plus dur pour moi est de me dire que, à aucun moment je peux confier ma fille à une tierce personne “pour prendre” soin de moi comme ils disent … Alors à défaut de prendre soin de moi, je prends sur moi…
      Mes amies m’ont demandé si j’avais fait un postpartum ou dépression après la naissance de ma fille. J’avais envie de rire en leur disant ” mais même si j’avais voulu, c’était juste pas possible comme tout reposait sur mes épaules! Et si je craquais c’était mon mari qui devait gérer et comme je ne travaille pas encore …”
      Ma fille va bientôt avoir un an et j’ai passé mes journées et nuits entières à ne me consacrer qu’à elle, aider mon mari qui débutait un nouveau travail.
      Bref, pas de solutions miracles pour nous qui avons finalement choisit cette vie et partir loin …
      Courage, courage et courage

      1. Andréa dit :

        Je suis d’origine étrangère j habite en France et pareille je n’ ai pas eu bcp de personnes pour m’aider avec les 4enfants lorsque les jumeaux sont nées la l aînée avait 3ans et demi la deux ème avait deux ans et les jumeaux
        Au départ j avais un peu d aide avec la famille de mon conjoint avec les remarques qui vont avec et finalement je n’ ai plus demande d aide car c est génial d être libre sans les remarques des autres car c est le prix que vous payerez si vous êtes aides comme si vous avez une dette
        Alors les filles vraiment profitez de cette liberté pour ce construire en tant que parent c est génial car vous n avez plus de compte a rendre à vos banquiers rire
        Très belle soirée

  9. Azerty dit :

    Je n’en peux plus….
    2 filles. La première de 2 ans et 4 mois, la deuxième de 3 mois.
    1e caractère bien trempé, en pleine « crise des 2 ans » (si cette crise existe vraiment ou si se ne sont pas les goss qui sont simplement mal élevé et horrible)
    Et la dernière (de ma vie), qui ne fais pas ses nuits. Pleure (HURLE.) h24 quand je la pause,

    Je n’en peux plus. La moindre sortie est un fiasco et un débarquement. Une avalanche de pleures (quand c’est pas l’une c’est l’autre). Je me prive de tout.

    Les deux dorment avec nous, dans la chambre. Plus aucune intimité avec mon mari. La grande ne s’endort pas seule, ni sieste ni nui et s’endort vers 22h/23h. C’est du 24h/24. 7j/7 je n’en peux plus.

    Je n’ai pas une seconde de mes journées, ni mes nuits pour souffler.

    ?

    1. Andréa dit :

      Prenez soins de vous ,prenez une nounou pour les garder
      Sortez seule prendre un café se faire des massages ongles peu importe,ce que vous aimez
      C est un vraie investissement celui de votre bien être c’est très important car sinon on se retrouve avec le temps egrie triste déprimée sans même plus savoir pourquoi
      Dites vous même si vous êtes fatiguée faut que je sorte pour moi c’est impératif ne négociez pas avec ça et sorte.
      Vous verrez déjà différemment les choses en rentrant chez vous
      Vous aurez moins besoin d être là mère parfaite et c’est génial

  10. Jay dit :

    Bonjour,
    Prendre soin de nous c’est sûr !!! j’en rigole aussi…Pas ou peu de possibilités de garde pour dépannage, famille à 900 km et quand bien même ils sont sur les rotules presque pire que nous !!! On est obligé de bosser à 2 comme des forcenés pour être à découvert le 23 au lieu du 18…
    Et je parle pas des voisins qui te prennent pour un sauvage car ça crie sévère chez toi… Psychotropes, Tenu anti-emeute et Casque anti-bruit : je ne vois que ça…Biz a tous
    Jay

    1. Miriam dit :

      Jay! je vous comprends à 150%. Difficile de demander à des proches. Pour moi dans la famille ok mais y a des privileges pour deux sales gamins 10 fois pire que les miens ( enfants d accueil de mon beau frere). Ils ont la priorite sur tt et meme quand toi tu as réservé le baby sitting chez les grands parents 6 mois avant, ils trouvent toujours un moyen d etre là en meme temps que nos enfants. Alors mes beaux parents je leur demande le minimum car ils preferent ces 2 pieces rapportées qui font des conneries et qui accusent apres mes enfants qui reçoivent la punition à leur place. Donc on a trouvé d autres alternatives: camps, garderies, on s entraide entre voisins et amis.

    2. Hinault dit :

      Je vois que il y a beaucoup de temoignage de manque de famille autour de nous. Les famille sont eclate et ça n’aide pas . Lorsque mes enfants auront des enfants je l’ai aiderai car c’est très dur tout seul

  11. Anonyme dit :

    Je me marre !
    Mes proches sont à 700kms et 45 heures par semaine!
    Solution a me proposer ?
    Cherchez bien !!!
    De mon côté aucune…
    Rectification avec les trajets compris 75 heures par semaine !!
    Solutions ?????

    1. Miriam dit :

      Oui ce sont toujours les mêmes conseils qui reviennent:
      – faire moins de menage.
      -demander a des proches
      – être plus zen.
      mes parents habitent loin aussi et mes beaux parents cf ci dessus pour comprendre la situation familiale injuste avec du 2 poids 2 mesures.
      – pour moi le seul conseil que je m applique c est prendre un babysitter, bien s entendre avec ses voisins et s entourer d amis prêts à aider.
      – s autoriser a peter un cable…car moi honnetement je deviens de moins en moins patiente et je me retiens pas: j incite mes enfants à obeir!
      sinon je trouve des supers punitions. J essaie d avancer jour par jour!

      1. Alice dit :

        Oui, tout à fait: « j’incite mes enfants à obéir ». C’est fou qu’on en soit venus à dire ça. Pour nos grands-mères qui avaient une petite dizaine d’enfants ça coulait de source. Si tu te fais pas obéir tu te retrouve esclaves de tes enfants… j’en suis de plus en plus convaincue aussi.

  12. José dit :

    Bonjour
    Je voudrais savoir si ces conseils ont été bénéfiques pour quelqu un qui a lu ces lignes?
    Attention je ne critique pas cet article j’ai vraiment besoin d aide et je ne me sens pas pour payer un coaching sur internet qui ne fonctionnera certainement pas…sans critiques encore.
    Merci de vos conseils
    Cordialement

    1. Emilie dit :

      Pour moi, laisser les enfants chez les grands parents, cela me permet de prendre du temps pour moi, je trouve que lorsque je réponds à mon besoin de repos, je suis plus patiente avec mes filles

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