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“Caprices” d’enfant : la meilleure façon de les gérer

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Les “caprices” de nos petits ou grands enfants ne sont pas une nouveauté. On appelle communément “caprice”, quand notre enfant exprime son désaccord de façon maladroite, sur quelque chose qui nous semble – à nous – peu important. Petit, il fait une colère pour un malheureux bonbon. Elle refuse de rendre un jouet. Ils tapent le copain qui les a traités de « bébé »… Et plus grand, il trépigne quand on éteint la télé. Comment éviter ces situations bancales et les aider à exprimer leurs désaccords, leurs émotions de façon plus adroite

Caprice enfant : l’explication

D’abord, il est important de connaître l’explication scientifique du caprice de l’enfant. Les recherches en neurosciences ont montré que la partie du cerveau appelée  « lobes temporaux et frontaux du néocortex » (à vos souhaits !) qui nous permet de réguler nos émotions, n’est pas encore développée chez le nourrisson*. Lors des 5 premières années de vie de l’enfant, cette partie du cerveau va se former, pour arriver à maturité vers l’adolescence. On aura beau leur dire d’arrêter leur caprice d’enfant, de se calmer, de se raisonner, cela n’aura pas beaucoup de résultats. Non pas parce que nos enfants ne veulent pas nous écouter, mais parce que leur cerveau ne leur permet pas encore de se raisonner !

Ensuite ce qui nous fait souvent dire que notre enfant “fait un caprice”, c’est que nous jugeons l’objet de sa frustration peu important. C’est alors que nous oublions que notre enfant est avant tout .. un enfant 🙂 Et qu’il n’a pas les mêmes centres de préoccupations que nous. Tout comme les autres adultes n’ont pas toujours les mêmes centres de préoccupations que nous. Pour notre homme, un salon rangé est ultra important, pour notre femme elle tient à ce que nous finissions notre assiette, et notre enfant, lui, a envie de finir le jeu qu’il a commencé, avant de passer à table. Et si nous acceptions que chacun n’ait pas les mêmes préoccupations ? 

Et en même temps, nous pouvons aider notre enfant à prendre du recul que la situation, et à s’exprimer autrement qu’en se roulant par terre. Voici comment. 

Face à un caprice d’enfant, les aider à prendre conscience de leur émotion

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La 1ère étape pour que notre enfant puisse mieux exprimer ses émotions (en évitant de taper le voisin), c’est qu’il prenne conscience de ce qu’il ressent. Pourquoi ? Parce que c’est en faisant ce premier pas de prise de conscience des émotions désagréables qui nous traversent que l’on va pouvoir prendre du recul et réagir moins impulsivement. Et c’est bien sûr aussi vrai pour nous, adultes. Par exemple, on peut être énervé contre un collègue, lui parler avec un brin d’agressivité, sans être vraiment sûr de bien comprendre la raison. Et puis si l’on se pose, que l’on y réfléchit, on peut percevoir que l’on est énervé contre lui, car on le trouve par exemple trop intrusif, ou parce que l’on n’a pas aimé l’une de ses réflexions. 

C’est d’ailleurs cette méthode que la maîtresse de ma fille a adoptée devant le « caprice d’enfant » d’une de ses camarades. Résultat : retour au calme immédiat. Voici l’anecdote.

(Pour info, si vous avez envie d’explorer plus de pistes et d’idées pour mieux gérer les colères de votre petit, j’ai fait un dossier complet sur le sujet : le “PACK ANTI-COLÈRES : Le dossier ultime pour gérer “caprices” et autres crises !”. Pour le recevoir, rien de plus simple, renseignez votre email ci-dessous et je vous l’envoie directement dans votre boite.

Histoire d’un caprice d’enfant “comme les autres”

Un papa s’apprêtait à lire une histoire à 5 camarades, dont sa fille, avant de partir travailler. La petite fille arracha le livre des mains de son père, et ne voulut pas le rendre. Le père évidemment gronda sa fille, et tenta de la raisonner : « Le livre est à tout le monde, tu le rends. Sinon je ne lis pas d’histoire ». Tempête émotionnelle, sa petite fille éclata en sanglots ! Puis, elle serra le livre d’autant plus fort « Nooon ! ». La maîtresse intervint : « Je crois que ce n’est pas le livre que Juliette ne veut pas prêter, mais son papa qu’elle ne veut pas partager. Tu aimerais que ton papa ne lise une histoire que pour toi, c’est cela ? ». Elle avait vu juste. Juliette se calma instantanément. Elle se sentit comprise.

Si, au moment où Juliette arrachait le livre, son papa avait verbalisé les émotions de sa fille, sans jugement (« Tu ne veux pas que je lise une histoire à tout le monde, tu préférais que j’en lise une pour toi toute seule, c’est ça ? »), elle aurait sans doute été plus à l’écoute. Ce n’est qu’ensuite que l’on aurait pu la guider vers une recherche de solution du type : « Comment fait-on ?! Il y a plein d’enfants dans la classe et on ne va pas mettre une barrière pour ne pas les laisser passer . Si je te lis une histoire dans la classe, on ne peut pas empêcher les autres de venir l’écouter. Donc soit on ne lit pas d’histoire, et je t’en lirai une ce soir, soit je t’en lis une maintenant et tant pis s’il y en a d’autres qui écoutent. Et je t’en lirai une deuxième ce soir rien que pour toi… Tu préfères quoi ? ». Et Juliette aurait probablement choisi l’option de continuer la lecture. Vous aurez d’ailleurs remarqué que l’on arrive à la même conclusion dans les deux cas : « Si tu prends le livre, je ne te lis pas d’histoire ». Mais dans l’un, on part dans l’opposition, dans le jugement, on considère la réaction de notre enfant comme « inacceptable ». Dans l’autre, on comprend ce qu’il ressent, on l’aide ainsi à comprendre lui-même sa réaction a priori irrationnelle. Et au final, on parvient à le raisonner et à continuer l’histoire !

Vous me direz : cela prend du temps ! C’est sûr. Cependant, si on fait le calcul, il est souvent plus rapide de prendre le temps de chercher à comprendre ce que notre enfant ressent et lui formuler, que de gérer un drame qui ensuite nous échappe.

Montrer que l’on comprend et verbaliser

Comprendre notre enfant, accueillir ses émotions et mettre des mots peuvent nous éviter bien des “caprices” ! 

Un matin, ma fille s’empara d’un petit dessin qu’une de ses camarades avait offert à la maîtresse. Elle ne voulait pas le rendre. Devant l’attente normalement pressante de l’autre maman, qui voulait accrocher le fameux dessin au mur avant de partir, je tentais de raisonner ma fille, sans succès. À court d’idée (et de patience), je finis par employer la force : « Bon, je vais devoir te le prendre des mains, c’est dommage ». Bien sûr, cela se termina en drame… Une émotion mal exprimée, que l’on nomme maladroitement “caprice d’enfant”. 

Après coup, je ne me suis pas reproché de ne pas avoir une fille plus docile, mais plutôt d’avoir oublié d’être empathique ! L’objectif n’est pas de culpabiliser, mais simplement de prendre du recul sur nos réactions automatiques, et voir les possibilités de faire différemment les prochaines fois.

« Je comprends que tu veuilles le garder. Tu aurais aimé, toi aussi, offrir un dessin à la maîtresse. C’est cela ? ». Redescente de la pression garantie ! Elle aurait compris cette jalousie qu’elle ressentait, dont elle n’avait peut-être même pas conscience, et elle se serait sentie comprise !  Et j’aurais ainsi pu trouver une alternative : « Tu sais, c’est très gentil de ta part de vouloir toi aussi faire plaisir à ta maîtresse. Si tu veux, ce soir, on lui fera un super beau dessin et tu pourras lui donner demain ! On n’oubliera pas, d’accord ? ». Et elle nous aurait probablement laissé reprendre le bout de papier. Et j’aurais vraiment « gagné ».

En utilisant la force, je n’ai fait qu’alimenter sa colère intérieure. En utilisant la compréhension, j’augmente d’abord mes chances d’arriver à mes fins (qu’elle rende le dessin). Et la prochaine fois, au lieu de s’emparer du dessin, elle pensera peut-être à exprimer sa frustration ou sa tristesse…

Car, oui, apprendre à écouter ce qui se passe en nous, puis à l’exprimer à l’autre, c’est un chemin d’apprentissage qui demande de l’aide et des modèles. En développant la capacité à mettre des mots dessus, elle pourra plus facilement s’apaiser. « Maman, moi aussi j’aimerais bien faire un dessin à la maîtresse ! ». Et on évite ainsi que l’émotion s’exprime à travers un comportement inapproprié.

Pourquoi ne parvenons-nous pas à adopter facilement cette attitude face aux “caprices” de nos enfants ?

Certes, ce n’est pas simple à appliquer ! Dans notre vie effrénée, on est souvent pressé. On a du mal à prendre le temps de dire les 3 phrases qui pourraient justement nous en aurait fait gagner. Nous avons rarement l’esprit suffisamment ouvert et attentif au moment présent pour chercher à comprendre notre enfant, plutôt que de se focaliser sur l’étape d’après.

Donc, l’intérêt aussi de faire un travail sur soi pour être davantage dans l’instant présent, s’accorder des pauses afin que, lorsque nous sommes avec notre enfant, nous le soyons à 100%.

Enfin, malgré tout cela, il n’est pas toujours simple de comprendre notre enfant. Peut-être que dans l’enfance, personne ne nous a appris à être empathique (c’est-à-dire savoir détecter les émotions des autres). On apprend beaucoup par mimétisme (voir l’article « Voici le meilleur moyen pour influencer le comportement de nos enfants ») et les gens qui nous entouraient à l’époque ne l’ont pas forcément été avec nous.

Raison de plus pour changer notre façon de réagir, et de ne pas répéter le même scénario avec nos enfants. Essayons de chercher davantage à le comprendre qu’à le critiquer. C’est ainsi qu’il apprendra à se comprendre lui-même et à comprendre les autres. Alors même si nous ne changerons pas des années d’automatismes d’un coup de baguette magique, il est clairement possible de s’améliorer ! Cela demande de le vouloir et de passer à l’action en s’entraînant tout simplement. D’ailleurs, le Cool Boost, vous accompagne toute l’année pour passer de la théorie à la pratique, et mettre en application tous ces bons conseils… Nous ne sommes pas des parents parfaits, mais si on s’améliore, c’est déjà beaucoup !

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Commentaires

14 thoughts on "“Caprices” d’enfant : la meilleure façon de les gérer"

  1. Corinne dit :

    Merci pour cette approche très intéressante.
    Je suis effectivement convaincue qu’un enfant qui se sent compris fera moins de ”caprices”.
    Au quotidien, ça peut être parfois plus compliqué à mettre en place mais je crois aussi qu’on peut en reparler et que cette voie est un moyen d’avancer plus sereinement.

  2. Corinne dit :

    Merci pour cette approche très intéressante.
    Je suis effectivement convaincue qu’un enfant qui se sent compris fera moins de ”caprices”.
    Au quotidien, ça peut être parfois plus compliqué à mettre en place mais je crois aussi qu’on peut en reparler et que cette voie est un moyen d’avancer plus sereinement.

  3. Lydie dit :

    Bonsoir, je confirme que cela fonctionne. La plupart du temps j’arrive a identifier la raison de la crise et je peux l’aider en ce sens. Mais quand je ne sais pas ! Quand je ne vois pas le pourquoi ! Je me sens mal et je culpabilise tellement…
    Comment trouver le déclencheur à chaque fois ?
    Merci pour tout 🙂

  4. Sabrina dit :

    Bonjour,
    J’ai une question : peut-on demander à un enfant de 3 ans de ne pas pleurer, de “respirer”, de se contrôler pour ne pas être submerger par ses sentiments (colère, frustration, douleur, peur …) tout en lui demandant ce qui ne va pas, qu’il nous explique pourquoi il est dans cet état ?
    Merci d’avance
    (un jour une personne m’a dit que ce n’était pas bien de lui dire de ne pas pleurer)

    1. Hector dit :

      Non il ne faut pas dire à un enfant de ne pas pleurer parce que cela revient à nier son émotion. On peut lui proposer de respirer pour qu’il s’apaise, mais pas de se contrôler : l’enfant a besoin de libérer ses émotions. En espérant vous avoir aidé.

  5. Nathalie Carne dit :

    Merci!!!
    Vous me faite un bien fou!!!
    Je déculpabilise et je progresse !! Et ça marche!!!
    Merci de tout ce que vous faite!
    Sûrement que dans 30 ans mon fils vous remerciera aussi. Lol

  6. elmaelle dit :

    Bonjour,

    J’aime beaucoup votre approche et essaye de l’appliquer avec ma fille de 16 mois qui commence à faire des caprices (cris, pleurs, obstination, trépigne, se jette même par terre) quotidiennement (généralement parce qu’elle veut quelque chose dans le frigo que je ne souhaite pas qu’elle mange) mais j’ai beau essayer la compréhension “J’ai bien compris que tu veux manger un cookie et que tu te sens très frustrée de mon refus, c’est dur la frustration”, des alternatives (compote, pain, câlin etc.) et des diversions (je commence à lire un livre près d’elle ou autre), rien ne marche. Je finis souvent par l’enfermer dans sa chambre en attendant qu’elle arrête son épisode hystérique, par défaut, et par espoir que cela la dissuade à force de recommencer. Cela dit, cette situation me laisse assez frustrée moi-même. Des conseils??

  7. Ingrid dit :

    Bonjour Charlotte, je vis en Italie depuis 6 and et j ai une petite fille de 2 ans avec un italien. Je peux vous dire qu’ici on est loin de l’education positive. Apres quelques crises de colere de Victoria, perdue, seule et desesperee par la situation, j ai atteri sur votre blog. J ai toute suite succombee a votre humour et au concept que dire: Grazie mille!! J ai a peine fini votre livre et j ai plaisir a penser que l’education positive n est pas seulement se sortir de situations personelles difficiles mais surtout d aller vers une Société meilleure. Merci encore

  8. Chang ParentaliteZen dit :

    Dans le quotidien, pas toujours facile de ne pas réagir par réflexes. Mais c’est une bonne piste que d’analyser les émotions débloquer enfants, les messages cachés.

    Il fait aussi différencier les caprices et les vrais besoins. Parfois c’est juste de la manipulation (cela n’arrive qu’à partir d’un certain âge) mais parfois c’est l’expression de besoins fondamentaux (affection, soif, faim, etc)

  9. Helene dit :

    un grand merci oour ces genereux partzges et conseils!
    ca fait du bien !

  10. Jenny dit :

    Bonsoir, merci pour cet article. Il est vrai que dans mon cas, il n’est pas évident de chercher à poser des mots sur les mauvais comportements de mon fils de 3 ans mais plûtot le gronder ou avoir le dessus pour qu’il cesse immédiatement. Le trop pleins d’émotions de nos enfants est difficile à gérer calmement et avec empathie surtout comme l’article nous le dit.
    Merci pour les sujets que vous traitez avec beaucoup de bienveillance.
    Cordialement

  11. Marie Sophie dit :

    Bonjour tout le monde ,
    J adore votre livre et votre façon d éduquer vos enfants , vs êtes un vrai exemple …
    malheureusement je n arrive pas toujours à mettre à l œuvre ce que vs m apprenez …
    je fus très coléreuse dans mon enfance et surtout l adolescence et j ai peur de vivre ça avec la fille . ( j ai vu la formation que vs faisiez sur 4 mois et songe à m y inscrire) .
    Actuellement ma fille a 18 mois et de temps en temps il y a des tentions … dès que je souhaite lui mettre un manteau pour sortir ou autre chose qu elle ne veut pas elle se met à hurler en disant « aïe »!
    Je ne sais pas d ou cela vient et j avoir qu au début j en ai rigolé car elle ne dit que papa maman et cracotte …
    je ne sais pas pourquoi elle dis ça et surtout elle se met à crier à taper des pieds et essayer de me taper … j essais de garder lon calme absolument ( malgres les’jugements de ma famille et entourage qui disent que je me fais manipuler par mon enfant …) mais il m est arrivé à mon grand regret de crier environ 5 fois déjà et fort et de m en vouloir terriblement a en pleurer après tellement j avais honte car ma fille pleuré encore plus et finissait par vouloir que je La prenne dans les bras … je souhaite ne jamais donner une fessée à mon enfant mais j ai peur un jour avec l impulsion de le faire . Je lui parle beaucoup et je lui explique tout ce qui est bénéfique mais pas toujours car je sais bien qu elle est si petite . Aussi quand je dois partir au travail , faire une course Ou la déposer chez la nounou , ce sont des pleurs et hurlements et elle m appelle «  maman maman » ? J ai l’impression qu elle croit que je l abandonne car je suis resté sa première Année tous les jours avec elle ) alors je file en douce pour pas qu elle me voit partir et je ne suis vraiment pas fière de cela . A part cela on a une relation très « collée »je dirais car elle veut je etre dans Le Bras quand je suis La ou avec moi … je suis très sensible à ses pleurs mais aussi à eux des autres enfants … j arrive pas à ne pas ressentir de tristesse quand un enfant pleut alors qu avant j étais absolument transparente de cette émotivité qui m empoisonne un peut mon quotidien .. je n arrive pas à laisser pleurer ma fille c est plus fort que moi .
    Voilà j ai avant tout écrit ce msg par rapport aux pleur et cris excessifs de ma fille quand elle ne veut pas manger sur une chaise haute ou mettre j’ Manteau , chaussures etc… j aurais vraiment besoin d un avis ,
    Je vous en remercie de tout mon cœur.
    Bien à vous
    Marie Sophie

  12. Vip18 dit :

    Bonjour,

    Je vous rejoins et je souhaite vraiment mettre en pratique une éducation bienveillante envers mon enfant.
    Mais petite question, illustrée par un exemple. Le matin ma fille ne veut pas s’habiller. J’ai bien compris qu’elle ne veut pas aller à l’école. Mais lorsque je dis:”tu n’as pas envie d’aller à l’école je vois que tu préfèrerais rester à la maison”, elle ne décolère pas. Et né s’habille pas…
    Que faire?
    Bonne continuation et merci pour votre site.
    Vio.

    1. Elodie dit :

      Bravo pour votre belle volonté d’améliorer les choses. N’hésitez pas à tenter plusieurs méthodes : écoute active, jeux, aide pour l’habiller le matin. Vous pouvez d’ailleurs lire à ce sujet mon dernier article sur les matins difficile comment gérer au mieux la préparation des enfants : https://www.coolparentsmakehappykids.com/matin-difficile-preparation-enfant/
      Si le soucis persiste n’hésitez pas à en parler sur le forum pour que tous les parents qui sont passé par là puisse vous donner leurs “trucs”. Je vous souhaite une très belle soirée

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